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Biographie - de Jean François Millet
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  Jean François Millet

Jean François Millet Jean François Millet
(1814-1875)
Peintre Français

MILLET, Jean François Peintre Français membre de l'école de Barbizon.

Le futur peintre des paysans n'avait pas vingt lorsqu'il commença son apprentissage auprès des peintres Mouchel et Langlois à Cherbourg, de 1833 à 1837. Muni d'une bourse municipale, il vient à Paris et s'inscrit à l'école des beaux-arts où il suit les cours de Paul Delaroche. Après avoir échoué au Prix de peinture et quitté l'école, millet se voit supprimer sa bourse. Cela ne l'empêche pas d'adresser deux portraits au Salon, dont un exposé. En 1841, millet retourne à Cherbourg où le portrait posthume de l'ancien maire, le colonel Javain Cherbourg, est refusé par la municipalité.

Il épouse en novembre Pauline-Virginie Ono ; un portrait de son épouse, morte en 1844, est conservé à Cherbourg.

Le peintre des sujets paysans

Après avoir été exclu du Salon en 1843, il y revient avec deux œuvres en 1844. De 1843 à 1846, il réalise ses meilleurs portraits dans une «manière fleurie». Les couleurs y sont posées en touches juxtaposées, de manière à former une surface animée et sensuelle.

Après un séjour au Havre, Millet et sa nouvelle compagne, Catherine Lemaire, qu'il épousera en 1853, s'installent à Paris. L'influence de Troyon et de Diaz devient perceptible dans les œuvres qu'il commercialise par l'intermédiaire de Durand-Ruel. Il peint alors plusieurs nus quelques scènes de genre et un Œdipe détaché de l'arbre Salon de 1847 qui lui vaut d'élogieuses critiques. à partir de 1848, les sujets paysans deviennent de plus en plus courants (le Vanneur), Salon de 1848. En juillet, le nouveau gouvernement lui commande un tableau. Il ébauche une toile représentant Agar et Ismaël, mais livre finalement en 1849 le Repos des faneurs.

Barbizon

Grâce à la somme reçue de l'état, il s'installe à Barbizon, où il passera le reste de ses jours, entouré de sa femme et de ses neuf enfants - le dernier naît en 1863. Alfred Sensier lui sert dès lors d'agent, lui fournit le matériel nécessaire à son art et reçoit les œuvres terminées, qu'il se charge de commercialiser. Régulièrement accepté au Salon, souvent exposé dans des galeries en France et à l'étranger, assuré d'un certain nombre de clients réguliers, il réalise des peintures d'un réalisme classique empreint de monumentalité (les Glaneuses, 1857 ; l'Angélus, 1858 -1859 ) qui ne sont pas sans rappeler Poussin.

Durant les années 1860, il se tourne de plus en plus vers le paysage, comme Théodore Rousseau, l'autre maître de Barbizon (le Bout du village de Gréville, Salon de 1866 et réalise de grands pastels la Méridienne, 1866, que copiera Van Gogh. Ceci lui vaut la commande en 1868, par son mécène Frédéric Hartmann, d'une suite de peintures illustrant les Quatre Saisons.

Il travaillera jusqu'en 1874 à cette série sans pouvoir y mettre un terme; l'Hiver les bûcheronnes restera inachevé. Reconnu et honoré, il meurt à Barbizon au début de 1875 et inhumé auprès Théodore Rousseau dans le cimetière de Chailly.

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